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 dynasties ≈ les familles de l'île.

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dynasties ≈ les familles de l'île.    Mer 15 Avr - 19:41

Les familles de l'île
Les connaître et les rejoindre
Depuis la fondation de la Colonie, plusieurs familles structurent la communauté de Tristan da Cunha. Si certaines se revendiquent de l’île depuis deux cents ans, d’autres se sont formées aux gré des migrations et de l’arrivée de nouveaux habitants. La petite taille de l’île et de sa population ne laissent pas beaucoup de place aux querelles entre les familles : ici, tout le monde s’entraide, est traité comme un égal et possède, à peu près, la même chose que son voisin. Malgré tout, cela n’empêche aux des histoires de familles ou aux vieilles rancoeurs de refaire surface, occasionnellement.

Nous avons esquissé les contours de quelques unes des familles de l’île : libre à chacun d’en rejoindre une ! Pour cela, rien de plus simple : indiquez à la suite de ce post la famille à laquelle appartient votre personnage, en vous assurant que sa position dans la famille soit cohérente avec les indications déjà fournies. Il sera ensuite de votre responsabilité de prendre contact avec les autres membres de la famille pour détailler les liens intra-familiaux et lancer des RPs ensemble! Au fur et à mesure, des précisions pourront être apportées aux descriptions des familles, en fonction de ce qu’en feront leurs membres.

Noms de famille
Notez bien qu’il n’est pas obligatoire de faire porter le nom de famille à votre personnage pour qu’il appartienne à ladite famille — notamment lorsqu’il s’agit d’un personnage féminin qui a pu prendre le nom de son époux, par exemple. Veillez juste à trouver une cohérence dans ce choix : personnage issu d’une autre branche de la famille, remarié, etc.


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Famille Hayes

Si les les inégalités sociales sont plutôt minimes entre les familles de l’île, il faut bien admettre que les Hayes sont tout de même ce qui se rapproche le plus d’une famille aristocratique. Ne perdant jamais une occasion de rappeler que leurs ancêtres ont fondé la Colonie, les Hayes oeuvrent effectivement depuis deux siècles à sa prospérité. Eleveurs dans l’âme, ils possèdent plus de bêtes qu’aucune autre famille, et nombreux sont ceux qui ont déjà fait un (ou plusieurs) voyages vers le continent. Très soudés, les Hayes accordent beaucoup d’importance à leur réputation, et se montrent intransigeants avec ceux qui pourraient salir leur nom.

Membres :
Sixième génération (sexagénaires et +) : Oliver Hayes (décédé) et son épouse, Mary Patterson (née Hayes) et son époux, Eleonor Pierce (née Hayes) et son époux, James Hayes et son épouse
Septième génération (quarantenaires-quinquagénaires) :
Huitième génération (adolescents-trentenaires) :

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Famille Davies

Si vous entendez des éclats de voix dans la rue tard le soir : c’est probablement l’oeuvre des Davies. Il arrive encore qu’ils se fassent traiter de « hooligans » par les anciens de l’île, et pour cause. Originaires de Liverpool, les frères Davies arrivèrent sur l’île dans les années 1970, lorsque de la main d’oeuvre fut envoyée du Royaume-Uni afin de moderniser l’installation électrique de l’île. Ces deux-là n’avaient jamais mis un pied hors de leur ville, et le grand air de Tristan (ainsi que les jeune femmes de l’île) les séduisirent. Ils décidèrent de rester au terme de leur mission, et se marièrent rapidement. Un peu bagarreurs, vaguement arnaqueurs, mais pas bien méchants, ils récupérèrent la gestion du pub de l’île suite à un obscur pari gagné. Depuis trois générations maintenant, l’Albatross est donc tenu par les Davies, qui continuent de semer une douce zizanie dans la Colonie.

Membres :
Première génération (sexagénaires et +) : William Davies et son épouse, Robert Davies (décédé) et son épouse
Deuxième génération (quarantenaires-quinquagénaires) :
Troisième génération (ados-trentenaires) :

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Famille Greene

Aussi loin que l’on s’en souvienne, les Greene ont toujours été des marins. Il y a quelque chose qui pousse cette famille, génération après génération, à prendre la mer — et ce, malgré les nombreuses tragédies (naufrages, noyades ou disparitions) qui ont marqué les Greene plus que n’importe quelle autre famille tristanaise. Si la pêche continue à être l’activité principale de cette famille (des hommes, mais pas que), tous ne s’y illustrent pas. Parce que l’océan coule dans leurs veines, les jeunes générations sont malgré tout poussées à poursuivre des études ou à occuper des emplois dans ce domaine.

Membres :
Quatrième génération (sexagénaires et +) :
Cinquième génération (quarantenaires-quinquagénaires) :
Sixième génération (adolescents-trentenaires) :

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Famille Osborne

Le nom Osborne gagna sa bonne réputation sur l’île à la sueur du front d’un seul homme : Thomas Osborne. Il fut un des rares étrangers à faire partie du voyage ramenant les tristanais sur leur île en 1963, après les deux ans d’exil au Royaume-Uni qui suivirent l’éruption du volcan. Durant cet exil, une jeune fille de l’île, promise à un pêcheur de Tristan — et née Hayes, par dessus le marché — s’était amourachée d’un ouvrier de Manchester et était tombée enceinte. Les deux amoureux se marièrent sur le cargo malgré la réprobation quasi-générale. Dès son arrivée sur l’île, Thomas s’appliqua à faire oublier ses méfaits en participant activement à la construction des installations portuaires de Tristan et de la conserverie, où termina sa carrière en tant que directeur. Ses trois enfants et plusieurs de ses petits-enfants suivirent ses pas, perpétuant la réputation d’honnêtes travailleurs de la famille — bien que la jeune génération manifeste de plus en plus des envies d’autres choses et d’ailleurs, au grand damn de leurs aînés.

Membres :
Première génération (sexagénaires et +) : Thomas Osborne et Ellen Hayes
Deuxième génération (trentenaires-quinquagénaires) :
Troisième génération (adolescents-trentenaires) : @Gemma Osborne

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Famille Sullivan

La famille Sullivan est l’une des familles les plus récemment installées sur l’île. X Sullivan, vulcanologue américain(e) de petite renommée, a déraciné sa famille de San Francisco il y a de cela 6 ans, pour devenir directeur(trice) de la station scientifique de Tristan. Le déménagement, l’adaptation et l’intégration furent difficile pour le couple (qui frisa le divorce) et encore davantage pour leurs quatre enfants, californiens purs souches. Aujourd’hui, tous (ou presque) on fait la paix avec l’île. Pour preuve : l’ainé(e), qui quitta l’île dès qu’il (elle) atteignit sa majorité, est récemment revenu auprès de sa famille.

Membres :
Première génération (quarantenaires/cinquantenaires) : couple Sullivan
Deuxième génération (4 enfants ; l’aîné a environ 25 ans, le plus jeune est adolescent) :
 
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